Wednesday 30 November 2016
Semaine 11
Aujourd'hui en classe, nous avons abordé la lecture de "Walking and Talking" par Linda Akan et nous avons beaucoup parlé à propos du manque de transmission des langues autochtones au présent. Ironiquement, cette perte de langue est grâce à l'éducation: l'éducation dans les écoles résidentielles. Les élèves étaient punis pour parler leur propres langue dans les écoles résidentielles et de cette façon il avait une génération qui ne parlais pas leur langue et qui étaient incapables d'enseigner leur langue à leurs enfants. Cela, m'a fait penser à la citation de "education is what got us into this mess and education is what's going to get us out of it". Donc, maintenant c'est notre rôle comme enseignants d'encourager la revitalisation des langues et ainsi de la culture autochtones dans nos salles de classe.
Wednesday 23 November 2016
Semaine 10
Aujourd'hui, on avait une visite de Kaleb Child, le directeur d'instruction de l'île de Vancouver Nord. Il a commencé avec la question : "why do we do what we do?". Cette question m'a fait penser des premières raisons que je voulais être une enseignante. Je me souviens des raisons de vouloir inciter de la bonne morale et esprit dans les élèves ou d'être un agent de change dans la vie d'une élève. Des fois, je me sens que ces raisons sont trop difficiles et peut-être irréaliste. Mais, il a vraiment parlé de comment on doit soutenir et être les "champions" pour les élèves qu'on enseigne. Ce qui commence avec l'enseignement d'un curriculum et des leçons qui vont les former comme bons citoyens reconnaissant, et surtout reconnaissant du passé qui a eu lieu sur les terres sur laquelle ils vivent.
Il nous a aussi donné des bonnes ressources comme cette publication de FNESC pour les sciences humaines qui intègrent les principes des peuples autochtones :
http://www.fnesc.ca/wp/wp-content/uploads/2015/08/PUBLICATION-61496-Science-First-Peoples-2016-Full-F-WEB.pdf
Il nous a aussi donné des bonnes ressources comme cette publication de FNESC pour les sciences humaines qui intègrent les principes des peuples autochtones :
http://www.fnesc.ca/wp/wp-content/uploads/2015/08/PUBLICATION-61496-Science-First-Peoples-2016-Full-F-WEB.pdf
Wednesday 16 November 2016
Semaine 9
Aujourd'hui en classe nous avons discuté des problèmes qui émergent durant le partage des récits autochtones. Nous avons spécifiquement discuté le falsification, l'appropriation, la merchandisation et la cooptation des récits autochtones en utilisant l'article écrit par Judy Iseke-Barnes. C'était bien intéressant qu'en voulant peut-être partager les histoires avec de bonnes intentions on peut encore avoir plusieurs problèmes de la façon qu'on le fait. Donc, c'est important de savoir quels récits sont appropriés à partager, de quels régions et quels peuples le récit provient et dans quels contexte on les partage. De plus, Jan nous a raconté une histoire de "coyote" ce que j'ai beaucoup aimé! C'était une occasion de voir comment certaines histoires pourrait être utiliser dans la salle de classe et de plus comment les récits autochtones peuvent avoir autant de liens personnels pour les élèves.
Et puis aussi Jan nous a donné de bonnes ressources comme le "CBC legends project" pour la narration orale des récits autochtones: http://www.cbc.ca/aboriginal/legends_project.html
Et puis aussi Jan nous a donné de bonnes ressources comme le "CBC legends project" pour la narration orale des récits autochtones: http://www.cbc.ca/aboriginal/legends_project.html
Monday 14 November 2016
Ashley Callingbull – Mrs. Universe
L’année dernière Ashley Callingbull,
une femme de la Nation Crie, était couronnée Mrs. Universe à Minsk, Bélarus. La compétition était un concours de
beauté pour les femmes mariées et avait comme thème : la violence domestique
et la maltraitance des enfants (CBC News, 2015). Callingbull était
particulièrement étiré à cette compétition à cause de son enfance difficile sur
les terres de réserves au Canada.
Ashley est née sur le réserve de la
Nation Crie à Enoch, Alberta à l’extérieur d’Edmonton. Au début de sa vie, elle
vivait avec sa mère et ses grands-parents, mais à l’âge de cinq ans elle a
déménagé avec sa mère pour vivre avec un homme où elle est devenue victime de la
violence physique et sexuelle et encore pire, ils vivaient en extrême pauvreté.
À l’école elle fut la cible de jets de pierre envers elle-même et les autres
Premières Nations et à l’âge de neuf ans elle était diagnostiquée avec la
tuberculose (Hune-Brown, 2015). De ce moment-là, Callingbull a décidé qu’elle
en avait assez de cette violence et souffrance dans sa vie et elle a
effectivement forcé sa mère de fuir cette maison et de retourner à Enoch pour
vivre avec ses grands-parents.
C’était en ce moment où Ashley a
commencé à entrer dans des concours de beauté, mais en fait, elle n’était pas
particulièrement liée à l’idée d’être jugé pour son apparence physique et à l’âge
de 22 ans, elle a déménagé à Six Nations, Ontario pour travailler pour une
charité qui soutient les jeunes autochtones et c’est aussi l’endroit où elle a
rencontré son mari, Ryan Burnham (Hune-Brown, 2015). Ashley était toujours
mécontente du fait que les concours possédés un composant de maillot de bain,
mais en 2015, le composant était retiré et remplacé par le plaidoyer et la charité.
De ce fait, Callingbull a décidé de participer puisque c’était une occasion
excellente de lutter pour les droits des peuples autochtones (Hune-Brown,
2015). Au passé, elle avait reçu plusieurs commentaires racistes, mais c’était
son occasion de dissiper ces stéréotypes et de montrer sa fierté majeure pour
sa culture (CBC News, 2015).
http://indiancountrytodaymedianetwork.com/2013/01/10/ashley-callingbull-hundreds-more-will-dance-idle-no-more-grand-entry-edmonton-146862
Durant la compétition de Mrs. Universe elle était capable de
porter ses emblèmes traditionnels, de présenter la danse de guérison et de
porter la robe à franges pour en montrant que sa culture était plus qu’un
costume (Boesveld, 2015). Son objectif était d’éduquer le public à propos de sa
culture et de plus, elle voulait démontrer une histoire d’espoir en montrant
les femmes qu’elles pouvaient surmonter ces obstacles et qu’elles ne devaient pas
subir la maltraitance. Donc, le but ultime d’Ashley est d’abolir le sens de
peur que toutes les femmes autochtones se sens et de le remplacer par un sens
de valeur (Boesveld, 2015). Aujourd’hui, elle continue de lutter pour les
droits autochtones en partageant son histoire avec les jeunes et de les
encourager de ne pas abandonner leurs rêves et leurs espoirs. De cette façon, Ashley
est un bel exemple de quelqu’un qui utilise sa position et titre comme moyen de
prêter l’attention aux problèmes des peuples autochtones.
Œuvres cités
Boesveld, S. (2015, September 1). 'I'm not going to shut up': First
Nations woman crowned Mrs. Universe urges Canadians to vote for new PM.
Retrieved November 13, 2016. Accessible de http://news.nationalpost.com/news/canada/first-nations-woman-crowned-mrs-universe-urges-canadians-to-vote-for-new-pm
CBC News. (2015, August 30). Ashley Callingbull, First Nations woman,
crowned Mrs. Universe. Retrieved November 13, 2016. Accessible de http://www.cbc.ca/news/canada/edmonton/ashley-callingbull-first-nations-woman-crowned-mrs-universe-1.3209179
Hune-Brown, N. (2015, December 7). All hail Ashley Callingbull: From
'pageant girl' to powerhouse. Retrieved November 13, 2016. Accessible de http://www.chatelaine.com/living/features-living/all-hail-mrs-universe-ashley-callingbull/
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